Le réveil de la bête.
Vous passerez par là, vous vagabonderez. Mais tiens-tiens, Jonathan a encore laissé trainer son journal. Quelle tête perdue, un bon gars tout de même.
Que nous dévoilera-t-il aujourd'hui?
(Ici présent sera compté comme RP. Jonathan laisse réellement trainer son journal. Il pourra donc être lu par ceux et celles qui voudront et être compté comme si votre personnage avait lu la page.
À noter, que si votre personnage se sent respectueux de la vie privée de mon personnage, il pourra décider de ne pas le lire, ou du moins, de ne pas en prendre compte.
Et finalement, on joue le jeu. Gardons en tête que, c'est privé, n'allez pas lui dire que vous avez lu le journal, il pourrait se vexer quand même.
PS : C'était une idée comme ça qui me paraissait plaisante, que je mets en teste. Soyez pas trop méchants)
Ce sera le premier soir.
Il tonnera.
La blessure est souffrante, mais j'ai su passé inaperçu. La forge de mon père n'était pas loin du lieu de l'attaque. Je n'ai pas su m'évader à temps, terrible.
J'ai tenté de bandé les plaies, j'ai utiliser les herbes de la vielle sorcière. Rien ne va. La plaie est énorme, terrible, douloureuse... Elle semble s'infecter. Des lignes mauves partant de la plaie, se propageant vers l'extérieur. Ces lignes, elles me rappellent le cours de ma vie, le peu de temps qu'il doit me rester.
J'écris ces lignes avec peines, misère.
Mon âme me torture,
ce miroir,
une bête.
Elle est froide, en colère. De son regard glacial, elle me fixe. De ses crocs acérés, elle me terrifie. De part sa taille, elle m'intimide. De part son tout, elle sera moi.
Ne crions pas aux loups.
Je me réveille, la pièce sera vide, froide et infecte. L'air est froid, je remarquerai plus rapidement que je suis nue. Je regarderai mes mains, tachées. Cette couleur me rappelle quelque chose, une nuit.
Tel des coups de marteaux, les souvenirs frappent dans ma tête. Non, me dirais-je. C'est impossible. Une simple morsure...